
C'est une histoire maritime, donc compliquée. Les passagers (de 60 nationalités différentes) et l'équipage (40 nationalités) d'un navire italien, propriété d'une filiale du géant mondial (américain) de la croisière, peuvent-ils espérer porter plainte devant une cour américaine et bénéficier du régime local des "class action", qui permet d'obtenir les dédommagements les plus substantiels au monde ?
Vendredi, la compagnie Costa Crociere, propriétaire du paquebot Concordia, qui a fait naufrage le 13 janvier près de la côte de l'île du Giglio, en Italie, a annoncé être parvenue à un accord avec plusieurs associations de passagers qui ont survécu à l'accident. Cet accord prévoit un dédommagement forfaitaire de 11 000 euros par passager, plus les frais, pour les biens perdus et les souffrances psychologiques liées au naufrage.
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